terça-feira, 25 de maio de 2010
A peregrinação a Portugal abre uma nova etapa deste pontificado
Pela relevância e pelo emocionante do texto publico-o já em francês e procurarei entre hoje e amanhã traduzi-lo para português
Les experts voient un «avant» et un «après» la visite de Benoît XVI à Fatima
Dans le pontificat de Benoît XVI, il y aura un «avant» et un « après » son pèlerinage apostolique au Portugal : c'est ce qui ressort des entretiens avec les experts de l'information religieuse ou de leurs chroniques et impressions, qu'ils soient favorables ou hostiles à la pensée de Joseph Ratzinger.
A la veille de cette visite, tous s'accordaient à dire que le pape entreprenait son quinzième voyage apostolique international (du 11 au 14 mai), dans des circonstances particulièrement défavorables, du fait de la crise « terrifiante » que l'Eglise catholique a vécue ces derniers mois après les révélations d'abus sexuels commis contre des mineurs par des membres du clergé.
Une forteresse inattendue
Dès le premier jour du voyage, certains médias, qui avaient lancé des attaques sans précédent contre un pape, ont pris conscience que quelque chose était en train de changer radicalement. Le « New York Times » publiait, le 11 mai, sur Internet une chronique de Rachel Donadio, dans laquelle la journaliste considère que les paroles de l'évêque de Rome aux journalistes « ont été les plus dures » qu'il ait prononcées sur le sujet.
«Les attaques 'ne viennent pas seulement de l'extérieur' constatait le pape, mais 'les souffrances de l'Eglise viennent de l'intérieur même de l'Eglise, du péché qui existe dans l'Eglise'. Et la chronique revenait sur les récentes mesures prises par le pape pour purifier l'Eglise.
«Il s'agit là d'un exemple clair du changement de ton que le pape est en train d'imprimer au Vatican », commente John L. Allen Jr., vaticaniste de l'hebdomadaire américain National Catholic Reporter.
Miguel Mora, correspondant au Vatican du quotidien madrilène «El País», un des journaux européens les moins complaisants envers la papauté, dans une analyse intitulée "Le gladiateur solitaire", présentait le Saint-Père ainsi : « Alors que les scandales pédophiles couverts par le clergé déclenchaient la pire crise que l'Eglise ait connue depuis des décennies, Ratzinger a donné le meilleur de lui-même ». Et le correspondant du journal reconnaissait en ce pape « le courage et la férocité d'un gladiateur solitaire, inhabituels chez un homme de 83 ans », dans «la purification d'une Eglise 'pécheresse'».
L'affection des fidèles en chiffres
Le changement d'attitude des journalistes est renforcé par les chiffres surprenants de la visite papale. Le pontife a rassemblé sur l'esplanade du sanctuaire de Fatima, le 13 mai, une foule de plus d'un demi-million de personnes, soit cent mille de plus qu'en 2000, lors du dernier pèlerinage de Jean Paul II à Fatima, pour la béatification de Jacinthe et François.
A Lisbonne, le pape a rassemblé quelque 200 000 personnes à la messe, et environ 120 000 à Porto. En comptant toutes les personnes présentes le long des rues dans les trois localités visitées, on arrive probablement au million. Dans un pays de 10 millions d'habitants, ce
sont 10% d'entre eux qui ont rencontré le souverain pontife.
Un Benoît XVI jusqu'alors inconnu
Cette fois-ci, les médias n'ont pas vu dans la timidité du pape un hôte froid. Bien au contraire, ils ont su percevoir son côté le plus intime, en particulier lorsqu'ils l'ont vu s'agenouiller, le 12 mai, devant la Vierge, dans la chapelle des apparitions de Fatima. Jean-Marie Guénois, chroniqueur Religion du Figaro, qui se trouvait alors à quelques mètres du pape, a immortalisé ces minutes où Benoît XVI a offert à la Vierge une rose en or et en argent.
«Puis, il s'est comme transformé au moment où son assistant lui a remis le fameux présent pour qu'il le dépose au pied de la statue. Et là, ce n'était plus un pape mais un enfant. Il s'est avancé avec le sourire d'un petit le jour de la fête des mères». Benoît XVI a déposé ce cadeau au pied de la Vierge puis s'est mis à prier : «Longues minutes paradoxales où se lient l'absence, une étonnante présence et le silence».
«Autour, près de 300 000 personnes vibraient au diapason», poursuit le chroniqueur. Son maître des cérémonies est alors venu lui prendre délicatement le bras : «L'enfant est redevenu pape».
Dans le vol papal du retour à Rome dans l'après-midi de vendredi, Octávio Carmo, de l'agence de presse catholique portugaise "Ecclesia", choisit également ce moment pour résumer ce pèlerinage : «C'est sans doute le voyage qui définit le mieux le pontificat de Benoît XVI : un
homme qui surprend les multitudes qui ne le connaissent pas, mais qui se révèle plus intensément en privé».
La mission prophétique de Fatima n'est pas achevée
Andrea Tornielli, vaticaniste du quotidien italien "Il Giornale", a souligné les paroles de l'homélie que le pape a prononcée le 13 mai, quand il a prévenu « Celui qui penserait que la mission prophétique de Fatima est achevée se tromperait », considérant que le message de la
Vierge ne se limite pas à l'attentat de 1981 contre Jean Paul II.
Dans sa fameuse conférence de presse dans l'avion, Benoît XVI lui-même a reconnu que dans le texte du troisième secret de Fatima «on voit la nécessité d'une passion de l'Église, qui naturellement se reflète dans la personne du pape».
Jeudi, lors de sa rencontre avec les évêques du Portugal, Benoît XVI a présenté ainsi sa mission à la lumière de Fatima : «Le Pape a besoin de s'ouvrir toujours davantage au mystère de la Croix, en l'embrassant comme l'unique espérance et le moyen ultime pour gagner et réunir dans le Crucifié tous ses frères et sœurs en humanité».
Après avoir laissé transparaître en direct des émotions aussi profondes, une nouvelle étape du pontificat de Benoît XVI commence, du moins pour les professionnels de l'information religieuse.
João THEMUDO BARATA
(Fonte : ‘Zenit’ edição francesa do dia 17 de Maio de 2010)
Um agradecimento muito especial a um amigo e sacerdote que me fez chegar este texto.
Bem-haja Pe. HA
Les experts voient un «avant» et un «après» la visite de Benoît XVI à Fatima
Dans le pontificat de Benoît XVI, il y aura un «avant» et un « après » son pèlerinage apostolique au Portugal : c'est ce qui ressort des entretiens avec les experts de l'information religieuse ou de leurs chroniques et impressions, qu'ils soient favorables ou hostiles à la pensée de Joseph Ratzinger.
A la veille de cette visite, tous s'accordaient à dire que le pape entreprenait son quinzième voyage apostolique international (du 11 au 14 mai), dans des circonstances particulièrement défavorables, du fait de la crise « terrifiante » que l'Eglise catholique a vécue ces derniers mois après les révélations d'abus sexuels commis contre des mineurs par des membres du clergé.
Une forteresse inattendue
Dès le premier jour du voyage, certains médias, qui avaient lancé des attaques sans précédent contre un pape, ont pris conscience que quelque chose était en train de changer radicalement. Le « New York Times » publiait, le 11 mai, sur Internet une chronique de Rachel Donadio, dans laquelle la journaliste considère que les paroles de l'évêque de Rome aux journalistes « ont été les plus dures » qu'il ait prononcées sur le sujet.
«Les attaques 'ne viennent pas seulement de l'extérieur' constatait le pape, mais 'les souffrances de l'Eglise viennent de l'intérieur même de l'Eglise, du péché qui existe dans l'Eglise'. Et la chronique revenait sur les récentes mesures prises par le pape pour purifier l'Eglise.
«Il s'agit là d'un exemple clair du changement de ton que le pape est en train d'imprimer au Vatican », commente John L. Allen Jr., vaticaniste de l'hebdomadaire américain National Catholic Reporter.
Miguel Mora, correspondant au Vatican du quotidien madrilène «El País», un des journaux européens les moins complaisants envers la papauté, dans une analyse intitulée "Le gladiateur solitaire", présentait le Saint-Père ainsi : « Alors que les scandales pédophiles couverts par le clergé déclenchaient la pire crise que l'Eglise ait connue depuis des décennies, Ratzinger a donné le meilleur de lui-même ». Et le correspondant du journal reconnaissait en ce pape « le courage et la férocité d'un gladiateur solitaire, inhabituels chez un homme de 83 ans », dans «la purification d'une Eglise 'pécheresse'».
L'affection des fidèles en chiffres
Le changement d'attitude des journalistes est renforcé par les chiffres surprenants de la visite papale. Le pontife a rassemblé sur l'esplanade du sanctuaire de Fatima, le 13 mai, une foule de plus d'un demi-million de personnes, soit cent mille de plus qu'en 2000, lors du dernier pèlerinage de Jean Paul II à Fatima, pour la béatification de Jacinthe et François.
A Lisbonne, le pape a rassemblé quelque 200 000 personnes à la messe, et environ 120 000 à Porto. En comptant toutes les personnes présentes le long des rues dans les trois localités visitées, on arrive probablement au million. Dans un pays de 10 millions d'habitants, ce
sont 10% d'entre eux qui ont rencontré le souverain pontife.
Un Benoît XVI jusqu'alors inconnu
Cette fois-ci, les médias n'ont pas vu dans la timidité du pape un hôte froid. Bien au contraire, ils ont su percevoir son côté le plus intime, en particulier lorsqu'ils l'ont vu s'agenouiller, le 12 mai, devant la Vierge, dans la chapelle des apparitions de Fatima. Jean-Marie Guénois, chroniqueur Religion du Figaro, qui se trouvait alors à quelques mètres du pape, a immortalisé ces minutes où Benoît XVI a offert à la Vierge une rose en or et en argent.
«Puis, il s'est comme transformé au moment où son assistant lui a remis le fameux présent pour qu'il le dépose au pied de la statue. Et là, ce n'était plus un pape mais un enfant. Il s'est avancé avec le sourire d'un petit le jour de la fête des mères». Benoît XVI a déposé ce cadeau au pied de la Vierge puis s'est mis à prier : «Longues minutes paradoxales où se lient l'absence, une étonnante présence et le silence».
«Autour, près de 300 000 personnes vibraient au diapason», poursuit le chroniqueur. Son maître des cérémonies est alors venu lui prendre délicatement le bras : «L'enfant est redevenu pape».
Dans le vol papal du retour à Rome dans l'après-midi de vendredi, Octávio Carmo, de l'agence de presse catholique portugaise "Ecclesia", choisit également ce moment pour résumer ce pèlerinage : «C'est sans doute le voyage qui définit le mieux le pontificat de Benoît XVI : un
homme qui surprend les multitudes qui ne le connaissent pas, mais qui se révèle plus intensément en privé».
La mission prophétique de Fatima n'est pas achevée
Andrea Tornielli, vaticaniste du quotidien italien "Il Giornale", a souligné les paroles de l'homélie que le pape a prononcée le 13 mai, quand il a prévenu « Celui qui penserait que la mission prophétique de Fatima est achevée se tromperait », considérant que le message de la
Vierge ne se limite pas à l'attentat de 1981 contre Jean Paul II.
Dans sa fameuse conférence de presse dans l'avion, Benoît XVI lui-même a reconnu que dans le texte du troisième secret de Fatima «on voit la nécessité d'une passion de l'Église, qui naturellement se reflète dans la personne du pape».
Jeudi, lors de sa rencontre avec les évêques du Portugal, Benoît XVI a présenté ainsi sa mission à la lumière de Fatima : «Le Pape a besoin de s'ouvrir toujours davantage au mystère de la Croix, en l'embrassant comme l'unique espérance et le moyen ultime pour gagner et réunir dans le Crucifié tous ses frères et sœurs en humanité».
Après avoir laissé transparaître en direct des émotions aussi profondes, une nouvelle étape du pontificat de Benoît XVI commence, du moins pour les professionnels de l'information religieuse.
João THEMUDO BARATA
(Fonte : ‘Zenit’ edição francesa do dia 17 de Maio de 2010)
Um agradecimento muito especial a um amigo e sacerdote que me fez chegar este texto.
Bem-haja Pe. HA
S. Josemaría nesta data em 1975
No salão de reuniões da Câmara de Barbastro recebe a Medalha de ouro da cidade. No fim, diz: “Eu renovo o meu propósito, com a graça de Deus, de vir com vagar a Barbastro, para conversar com cada um na intimidade da alma, para falar de Deus para que vejam como Ele vos quer e eu vos quero, e para que me ajudem a ser bom e fiel”.
(Fonte: site de S. Josemaría Escrivá http://www.pt.josemariaescriva.info/)
O Terço
O Terço não se pronuncia só com os lábios, mastigando as Ave-Marias umas atrás das outras. Assim cochicham as beatas e os beatos. Para um cristão, a oração vocal há-de enraizar-se no coração, de modo que, durante a recitação do Terço, a mente possa penetrar na contemplação de cada um dos mistérios.
(São Josemaría Escrivá - Sulco, 477)
(São Josemaría Escrivá - Sulco, 477)
Temas para reflexão
Espírito Santo e a missão da Igreja
A missão da Igreja realiza-se, pois, mediante a actividade pela qual, obedecendo ao mandamento de Cristo e movida pela graça e caridade do Espírito Santo, ela se torna actual e plenamente presente a todos os homens ou povos para os conduzir à fé, liberdade e paz de Cristo, não só pelo exemplo de vida e pela pregação, mas também pelos Sacramentos e pelos restantes meios da graça.
(CONCILIO VATICANO II, Decreto Ad Gentes Divinitus, nr. 5)
MÊS DE NOSSA SENHORA
Santo Rosário: Mistérios Gloriosos
4º Mistério: A Assunção de Nossa Senhora
Senhora minha da Assunção assim, como te retractam os artistas, de olhos erguidos ao Céu, as mãos em prece, o manto esvoaçando, assim te vejo eu, permanentemente subindo desta Terra, deste local onde me encontro, ao Céu, onde advogas a minha causa, em meu favor.
Creio firmemente, Senhora, que não tens missão mais importante que velar pelos filhos que, Jesus, na hora derradeira, te deu - nós todos, homens e mulheres deste mundo - e que a ela te dedicas com um amor e devoção inteiros e completos, sem descanso e sem desvios.
Não te esqueças, Mãe, de quando estiveres na presença do Senhor, de Lhe falar bem de mim.
(AMA, meditações sobre os Mistérios do Rosário, 1988.02.25)
A missão da Igreja realiza-se, pois, mediante a actividade pela qual, obedecendo ao mandamento de Cristo e movida pela graça e caridade do Espírito Santo, ela se torna actual e plenamente presente a todos os homens ou povos para os conduzir à fé, liberdade e paz de Cristo, não só pelo exemplo de vida e pela pregação, mas também pelos Sacramentos e pelos restantes meios da graça.
(CONCILIO VATICANO II, Decreto Ad Gentes Divinitus, nr. 5)
MÊS DE NOSSA SENHORA
Santo Rosário: Mistérios Gloriosos
4º Mistério: A Assunção de Nossa Senhora
Senhora minha da Assunção assim, como te retractam os artistas, de olhos erguidos ao Céu, as mãos em prece, o manto esvoaçando, assim te vejo eu, permanentemente subindo desta Terra, deste local onde me encontro, ao Céu, onde advogas a minha causa, em meu favor.
Creio firmemente, Senhora, que não tens missão mais importante que velar pelos filhos que, Jesus, na hora derradeira, te deu - nós todos, homens e mulheres deste mundo - e que a ela te dedicas com um amor e devoção inteiros e completos, sem descanso e sem desvios.
Não te esqueças, Mãe, de quando estiveres na presença do Senhor, de Lhe falar bem de mim.
(AMA, meditações sobre os Mistérios do Rosário, 1988.02.25)
Comentário ao Evangelho do dia feito por:
Cardeal John Henry Newman (1801-1890), presbítero, fundador de comunidade religiosa, teólogo
PPS, vol. 8, n° 2 «Divine Calls»
«Deixámos tudo para Te seguir»
Não somos chamados somente uma vez, mas muitas vezes; ao longo de toda a nossa vida Cristo chama-nos. Chamou-nos em primeiro lugar pelo baptismo, mas também mais tarde; quer obedeçamos ou não à Sua voz, Ela continua a chamar-nos na Sua misericórdia. Se faltamos às nossas promessas do baptismo, Ele chama-nos para nos arrependermos. Se nos esforçamos por responder à nossa vocação, Ele continua a chamar-nos, de graça em graça, de santidade em santidade, tanto tempo quanto durar a nossa vida.
Abraão foi chamado a deixar a sua casa e a sua terra (Gn 12, 1), Pedro as suas redes (Mt 4, 18), Mateus o seu emprego (Mt 9, 9), Eliseu a sua quinta (1Rs 19, 19), Natanael o seu repouso (Jo 1, 47). Todos nós somos incessantemente chamados, de uma coisa para outra, a ir cada vez mais longe, não tendo local de repouso, mas subindo em direcção ao nosso repouso eterno, e não obedecendo a um chamamento interior senão para estarmos prontos para ouvir outro.
Cristo chama-nos incessantemente para nos justificar sem cessar; sem cessar, cada vez mais, Ele quer santificar-nos e glorificar-nos. Devemos compreendê-lo mas demoramos a dar-nos conta desta grande verdade, a de que de algum modo Cristo caminha entre nós e com a Sua mão, o Seu olhar, a Sua voz, nos faz sinal para O seguirmos. Não apreendemos que o Seu chamamento é uma coisa que tem lugar neste preciso momento. Pensamos que ocorreu no tempo dos apóstolos; mas não cremos nisso, não o esperamos verdadeiramente para nós próprios.
(Fonte: Evangelho Quotidiano)
PPS, vol. 8, n° 2 «Divine Calls»
«Deixámos tudo para Te seguir»
Não somos chamados somente uma vez, mas muitas vezes; ao longo de toda a nossa vida Cristo chama-nos. Chamou-nos em primeiro lugar pelo baptismo, mas também mais tarde; quer obedeçamos ou não à Sua voz, Ela continua a chamar-nos na Sua misericórdia. Se faltamos às nossas promessas do baptismo, Ele chama-nos para nos arrependermos. Se nos esforçamos por responder à nossa vocação, Ele continua a chamar-nos, de graça em graça, de santidade em santidade, tanto tempo quanto durar a nossa vida.
Abraão foi chamado a deixar a sua casa e a sua terra (Gn 12, 1), Pedro as suas redes (Mt 4, 18), Mateus o seu emprego (Mt 9, 9), Eliseu a sua quinta (1Rs 19, 19), Natanael o seu repouso (Jo 1, 47). Todos nós somos incessantemente chamados, de uma coisa para outra, a ir cada vez mais longe, não tendo local de repouso, mas subindo em direcção ao nosso repouso eterno, e não obedecendo a um chamamento interior senão para estarmos prontos para ouvir outro.
Cristo chama-nos incessantemente para nos justificar sem cessar; sem cessar, cada vez mais, Ele quer santificar-nos e glorificar-nos. Devemos compreendê-lo mas demoramos a dar-nos conta desta grande verdade, a de que de algum modo Cristo caminha entre nós e com a Sua mão, o Seu olhar, a Sua voz, nos faz sinal para O seguirmos. Não apreendemos que o Seu chamamento é uma coisa que tem lugar neste preciso momento. Pensamos que ocorreu no tempo dos apóstolos; mas não cremos nisso, não o esperamos verdadeiramente para nós próprios.
(Fonte: Evangelho Quotidiano)
O Evangelho do dia 25 de Maio de 2010
São Marcos 10,28-31
28 Pedro começou a dizer-Lhe: «Eis que deixámos tudo e Te seguimos».29 Jesus respondeu: «Em verdade vos digo: Ninguém há que tenha deixado a casa, os irmãos, as irmãs, o pai, a mãe, os filhos, ou as terras, por causa de Mim e do Evangelho,30 que não receba o cêntuplo, mesmo nesta vida, em casas, irmãos, irmãs, mães, filhos, e terras, juntamente com as perseguições, e no tempo futuro a vida eterna.31 Porém, muitos dos primeiros serão os últimos, e os últimos serão os primeiros».
28 Pedro começou a dizer-Lhe: «Eis que deixámos tudo e Te seguimos».29 Jesus respondeu: «Em verdade vos digo: Ninguém há que tenha deixado a casa, os irmãos, as irmãs, o pai, a mãe, os filhos, ou as terras, por causa de Mim e do Evangelho,30 que não receba o cêntuplo, mesmo nesta vida, em casas, irmãos, irmãs, mães, filhos, e terras, juntamente com as perseguições, e no tempo futuro a vida eterna.31 Porém, muitos dos primeiros serão os últimos, e os últimos serão os primeiros».